Crise financière

Contrairement à ce que de nombreux économistes estimaient, la zone euro est finalement entrée en récession. La hausse des taux d’intérêt et l’inflation pèsent sur les ménages. La consommation chute. La demande de nouveaux crédits se contracte fortement, en particulier dans l’Hexagone. Le cycle éc...

À un moment où la dette mondiale représente le triple du PIB mondial, et face aux différences injustes d'accès à la dette, les pays émergents semblent tout à coup réaliser la différence entre dette et monnaie.

Avant d'investir dans une entreprise, les gérants des fonds ne regardent pas uniquement ses bénéfices, mais aussi ses pratiques. Une liste de critères se crée et s’enrichit au cours des années : les critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance (ESG).

La multitude de facteurs macroéconomiques qui soutiennent le début d'un nouveau cycle de l'or est vraiment remarquable. Amplifiés par le scepticisme ambiant entourant le métal jaune, nous vivons sans doute le moment le plus important de l'histoire de l'or.

Si les banques ne sont pas dans la même situation qu’en 2008, certains secteurs de l’économie commencent à ressentir les effets néfastes du relèvement des taux et pourraient contribuer à très court terme à déclencher un épisode de credit crunch et de baisse de la consommation.

Ouf, Standard & Poor’s n’a pas dégradé la note de la dette de la France le 1er juin ! Alors, tout va bien ? Non, loin de là. La perpétuation et l’accroissement du déficit budgétaire va rendre la dette de 3 000 milliards d’euros de plus en plus insoutenable. La France est sur la voie de la Grèce.

La domination de l'Occident, G7 en tête, est en perte de vitesse face aux BRICS. Les pays du BRICS souhaitent instaurer un ordre mondial multipolaire. Nous dirigeons-nous vers une nouvelle reconfiguration du pouvoir mondial ?

D’un côté, les États-Unis font tout un fromage autour du relèvement du plafond de la dette, ce qui semble laisser penser que la dette est un problème important. De l’autre côté de l'Atlantique, en France, personne ne parle de la dette publique, comme si c’était quelque chose de banal.

L’engouement des investisseurs pour les valeurs tangibles et l’abandon progressif des valeurs de croissance risque bien d’être le thème de cette fin d’année 2023.

La communication des banques centrales sur les projets de MNBC sont des coups de sonde, pour tester les réactions, puis ensuite il apparaîtra naturellement plus simple de rester sur une devise unique.