Inflation

En 2024, la Réserve Fédérale des États-Unis évolue dans un paysage économique complexe, marqué par une inflation persistante, une croissance économique stagnante et plusieurs conflits géopolitiques qui ravivent les tensions internationales.

Épargner est nécessaire et normal, mais trop épargner n’indique-t-il pas une peur face à l’avenir ? C’est le penchant qui semble toucher les Européens, selon une récente étude du service de recherche de Natixis.

Depuis le creux d'octobre 2023, à un peu plus de 1 600 $, le cours de l'or monte, mais est-ce que quelqu'un en achète ? Pas grand monde, ou du moins aucun des acteurs habituels. Les dépositaires d’or, les fonds aurifères et les ETF or ont vu partir un peu moins de 1 400 tonnes de leurs avoirs en...

Le maintien du prix de l'or au-dessus de sa ligne de cassure est un signal indiquant que la Fed ne pourra pas maintenir ses taux à un tel niveau pendant très longtemps sans compromettre le refinancement de la dette américaine.

La dette mondiale atteint un niveau historique de plus de 300.000 milliards de dollars. Si ce montant explique tant de choses, il est avant tout le moteur d’une idéologie sans limites dans un monde fait de risques et d’enjeux de toute nature.

Ces dernières semaines, le métal précieux a atteint des niveaux records, dépassant facilement les 2060 dollars l'once. Le 12 avril 2024, une once d'or, équivalant à 31,1 grammes, s'échangeait à 2344,17 $.

La Chine agit pour ralentir l'engouement pour l'achat d'or, tandis que les pressions économiques au Japon et aux États-Unis maintiennent l'or comme un actif attractif malgré des marchés boursiers valorisés.

La hausse de l’or à des sommets historiques au-dessus de 2 400 $ l’once a récemment captivé les marchés mondiaux. La Chine, premier producteur et consommateur mondial du métal précieux doré, est au cœur de cette extraordinaire ascension.

Plusieurs événements sont susceptibles de déclencher prochainement une augmentation significative des prix des métaux précieux.

La hausse des taux US à 10 ans accentue l'inflation et la pression sur les consommateurs américains, augmentant le risque de correction du marché.