Crise financière

Les banques centrales ont embarqué le monde dans un bateau qui ne peut que s’échouer. Cela poussera les prix de l’or et de l’argent à des niveaux difficiles à imaginer aujourd’hui.

Les investisseurs du monde entier n'ont jamais été confrontés à des risques aussi élevés que ceux auxquels nous sommes exposés en ce moment.

Une entreprise vaut au moins ce que valent ses actifs : ses locaux (si elle est propriétaire), ses machines et équipements (au prix de l’occasion), ses créances, montant duquel on retranche ses dettes. Il s’agit de sa valeur comptable. En bourse, normalement, une entreprise vaut plus que sa valeu...

Ce n’est pas surprenant que les banques, commerciales ou centrales, détestent l’or, parce que l’or révèle la mauvaise gestion de l’économie et les agissements frauduleux des banquiers.

Les banques italiennes cumulent 360 milliards d’euros de créances douteuses, ce qui équivaut à 22% du PIB (1.636 milliards d’euros en 2015), un ratio digne d’un pays émergent en faillite.

Il y a maintenant une forte probabilité que débute un déclin séculaire majeur de l’économie mondiale. Les semaines et mois à venir seront probablement pires que lors de la crise de 2007-2009.

À la clôture des marchés, vendredi, à 19,77 $, tout juste avant le long weekend du 4 juillet, l'argent était à son plus haut niveau depuis septembre 2014, venant couronner un mouvement qui l'a vu gagner plus de 16% en juin et plus de 11% lors des six derniers jours

L’or à 1 300 $ et l’argent à 18 $ sont une aubaine. Mais ces métaux ne resteront pas à ces bas prix bien longtemps. Avec la correction maintenant terminée et la tendance haussière bien en place, nous pourrions voir les métaux accélérer très rapidement.

L’Italie a pu activer pendant six mois un programme de 150 milliards d'euros de garanties publiques pour soutenir le besoin de liquidités des banques italiennes.

« Si nous revenions à l’étalon-or… ça irait bien. » Alan Greenspan dit que la stagnation économique, aggravée par le refus des deux partis politiques de contrôler les prestations sociales, a amené la pire période qu’il ait connue de toute sa carrière publique. L’économiste de 90...