Les banques centrales, des Gulliver enchaînés
Tel est le paradoxe des banques centrales : elles sont puissantes, indépendantes des pouvoirs politiques, leurs paroles sont scrutées à la loupe, mais elles sont coincées, obligées de maintenir leurs taux à zéro et de fournir de la liquidité aux marchés à la moindre menace.
Lire l'article