Crise financière

Dans une tribune récemment publiée, Nouriel Roubini, l’un des économistes les plus écoutés de la planète, prophétise : "D’ici 2020, les conditions tendront vers une crise financière, suivie d’une récession mondiale." Il identifie dix raisons.

Nous avons un pays qui, au cours des 27 dernières années, a doublé sa dette tous les huit ans. Et la tendance continue. Un pays qui, depuis des décennies, vit au-dessus de ses moyens en empruntant des montants illimitées. Je ne parle pas d'une république bananière, ni de l'Argentine ou du Venezuela,...

En octobre 2018, les réserves d'or de la Banque centrale de Hongrie sont passées de 3,10 à 31,5 tonnes, soit une multiplication par dix.

L'Italie a présenté un budget qui ne respecte pas les demandes de Bruxelles. Un bras de fer s'engage entre le gouvernement italien eurosceptique et la Commission européenne. Olivier Delamarche nous explique pourquoi un défaut de l'Italie sur ses dettes fera sauter les banques.

La montée en flèche de l'or et de l'argent est garantie. Ce n'est pas une question de SI, mais seulement de QUAND. La réévaluation imminente des métaux précieux n'aura rien à voir avec une phase mania, mais sera la conséquence de la mauvaise gestion de l'économie mondiale.

Deutsche Bank, qui se trouve au cœur de l’économie la plus importante et la plus compétitive d’Europe, est LA bombe atomique qui pourrait provoquer une crise financière mondiale, comme Lehman Brothers à son époque.

La gestion passive permet aux gérants de se dédouaner de tout risque de marché. Mais quelles sont les contreparties ? Quels sont les risques pour les clients ?

Alors que les marchés financiers internationaux sont à la croisée des chemins, les investisseurs ont la possibilité de tout perdre ou de bénéficier du plus grand transfert de richesse de l’histoire.

Avec l'intelligence artificielle et la gestion passive de plus en plus de gérants sont déresponsabilisés.

Un documentaire diffusé par France 5 explique que c’est l’argent de la drogue qui a sauvé le système bancaire de la faillite lors de la crise de 2008. Une affirmation exagérée ?