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Plusieurs menaces s’accumulent sur l’immobilier, que les potentiels investisseurs feraient bien de prendre en compte.

La Grèce est-elle vraiment sorti de la crise comme le clame Pierre Moscovici ? Alors que la dette grecque reste colossale (+ 180% de son PIB) et que l’équilibre économique est fragile, la Grèce est-elle toujours une menace pour la zone euro ?

De nombreux marchés émergents se transforment aujourd'hui en marchés submergés. Les économies, les monnaies et les marchés boursiers de nombreux pays sont en train de s'effondrer.

Cela fait des années, que j’évoque le rôle des faisceaux de Fibonacci dans le trading de l'argent. Chaque fois qu’on en passe un, qu’il soit montant ou descendant du sommet, il faut revenir dessus pour faire un pull-back.

Olivier Delamarche nous parle de la destruction de l'économie et de la confiance dans la monnaie par les banques centrales.

Dans un entretien accordé à l'AFP à l'occasion du dixième anniversaire de la faillite de Lehman Brothers, M. Strauss-Kahn, qui dirigeait le FMI au plus fort de la crise financière de 2008, estime que la situation actuelle est "plutôt plus grave qu'elle ne l'était à l'époque".

Même si je n'aime pas regarder le passé, je suis quand même revenu sur un de mes articles écrit en juillet 2009, à une époque où l'or dépassait à peine 900 $ et le Dow 9 100 $. Il s'intitulait "Les années sombres sont là" et avait suscité beaucoup d'intérêt. C'était la fin de la crise des subprim...

L’événement est historique : pour la première fois, le ministère des finances consent à rendre public les pays détenteurs de la dette publique de la France.

On y est ! L'automne 2018 sera capital pour l'économie mondiale, les marchés et la politique. Nous assistons actuellement au dernier "Hourra" pour les actions, les obligations, le dollar et la plupart des marchés d'actifs.

La Reserve Bank of India a acheté de l'or pour la première fois depuis près d'une décennie. La RBI a accumulé 8,46 tonnes d'or au cours de l'exercice 2017-18, portant le niveau de ses réserves à 566,23 tonnes.

Comment l’Iran, la Russie et la Turquie réagiront-ils à la pléthore de sanctions financières imposées par les États-Unis ? Comme le ferait quiconque frappé à coup de bâton : ils vont tenter de s'échapper.

Depuis le mois d'août nous assistons à l'effondrement de la Turquie et de sa monnaie, la livre turque, à l'occasion des guerres commerciales de Donald Trump qui ont provoqué ce que l'on appelle déjà la "crise turque".

Nicolas Maduro a indiqué que le Venezuela commencerait à vendre des certificats adossés à des lingots d’or comme mécanisme d’épargne, et ce, dès le mois prochain.

Nous avons suffisamment d'éléments pour suggérer que l'or et l'argent ont atteint leur plus bas, et que même si ce n'est pas le cas, le plancher est très proche et le risque de baisse très limité.

La Grèce a reçu au total, avec ses trois plans de sauvetage, 289 milliards d’euros. Qui peut croire qu’elle parviendra un jour à les rembourser ?

Face aux sanctions américaines, la Russie continue d'accumuler de l'or. La banque centrale russe a acheté 26,1 tonnes au mois de juillet, un record sur l'année, portant ses avoirs à 2 170 tonnes, selon les données du FMI compilées par Bloomberg.